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Haik Davtian

Haïk Davtian, formé par Edouard Tatevossian, appartient à la tradition des violonistes russes. Premier prix de violon et de musique de chambre du Conservatoire National Supérieur d’Arménie en 1985,  il se perfectionne ensuite à Moscou auprès de Léonid Kogan et Igor Bezrodny. Il sera lauréat de nombreux concours en ex Union Soviétique. 

Bénéficiant d'une formation de chef d’orchestre de 1986 à 1990, il obtient un premier prix de direction au Conservatoire Supérieur d'Erevan, et débute sa carrière de chef avec les orchestres de l’Opéra et de la Radio Nationale d’Arménie entre 1987 et 1991.

Installé en France en 1991, Haïk Davtian se produit en tant que violoniste soliste et chambriste, fonde en un duo avec le pianiste Arthur Aharonian, puis en 1999 le quintette à cordes avec contrebasse Khroma dont il est le premier violon et qui  deviendra le quintette Naïri en 2007. En 1996, il remporte à l’unanimité avec son duo violon/piano le Grand Prix du Concours International Pierre Lantier à  Paris. Il donnera alors plus de 300 concerts en  France et à l'étranger (Canada, Italie, Espagne, Emirats Arabes Unis, Qatar, Israël, Arménie...) et collaborera régulièrement avec les orchestres de la Radio, Opéra de Paris… Philharmonique de Radio France...

Titulaire du Certificat d'Aptitude de professeur de violon, il enseigne au Conservatoire à Rayonnement Régional de Strasbourg de 2004 à 2013 où l'orchestre symphonique lui sera aussi confié. 

Professeur actuellement au CRR de Cergy-Pontoise, (où il dirige également l'orchestre symphonique) il poursuit sa carrière internationale de violoniste. Régulièrement invité à l’Orchestre Philharmonique d’Arménie en tant que violoniste soliste et chef, il fait découvrir les pages méconnues de la musique française.

Durant l'année 2015-2016 Haïk Davtian était assistant de professeur de violon au CNSM de Paris.
 
Violoniste et chef d’orchestre, c’est dans cette dualité qu’il puise l’originalité et le style de son approche. Construisant un pont entre les deux extrémités de l’Europe, il porte l’âme de la musique du Caucase à travers l’Ensemble Naïri et fait découvrir en Arménie  les pages méconnues de la musique française...

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